A l’approche des élections législatives en Géorgie, l’Union européenne n’a d’autre choix que de prendre fermement parti pour l’opposition, favorable à l’intégration européenne du pays, au risque de laisser libre cours à des tentatives de fraude et à l’ingérence du Kremlin, plaide l’enseignant à Sciences Po Paris dans une tribune au « Monde ».