L’ancienne locomotive économique du pays a été ruinée par treize ans de conflit qui se sont soldés par un exode massif et plus de 25 000 morts. Si beaucoup d’Alepins se réjouissent du départ du tyran, cela n’efface pas les années de violence durant lesquelles le régime s’est évertué à dresser les communautés les unes contre les autres.