De l’Ukraine au Proche-Orient, la perspective de l’arrivée à la Maison Blanche, le 20 janvier, d’un président élu qui a dit vouloir être débarrassé des guerres actuelles met les belligérants sous pression et accentue les divisions en Europe, explique, dans sa chronique, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».