L’Europe a tout intérêt à chercher à renforcer sa position au Groenland, non pas pour rejoindre la « course aux ressources », mais pour préserver un ordre fondé sur les règles de droit, notamment des peuples autochtones, affirment l’historien norvégien Kjetil Jakobsen et le politiste français Yohann Aucante, dans une tribune au « Monde ».