Trente ans après la signature du mémorandum de Budapest, Kiev « ne se contenter[a] d’aucune alternative ou substitut » pour assurer sa sécurité. Une telle adhésion serait une menace « inacceptable » pour la Russie, a réagi le Kremlin.
Trente ans après la signature du mémorandum de Budapest, Kiev « ne se contenter[a] d’aucune alternative ou substitut » pour assurer sa sécurité. Une telle adhésion serait une menace « inacceptable » pour la Russie, a réagi le Kremlin.
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