Après l’échec des discussions pour former un gouvernement centriste, les conservateurs se disent prêts à négocier avec le FPÖ, arrivé en tête aux législatives. Si les pourparlers aboutissent, ce serait la première fois depuis 1945 qu’un représentant d’un parti fondé par d’anciens nazis arriverait au poste le plus important des institutions autrichiennes.