Le modèle d’intelligence artificielle développé en Chine, peu onéreux, sobre et ouvert, coche toutes les cases de ce que prône l’Europe, qui aurait déjà dû parvenir à en créer un similaire, estime, dans un entretien au « Monde », Asma Mhalla, spécialiste du lien entre les enjeux technologiques et géopolitiques à Sciences Po.