Pour son second mandat, et malgré des prises de position jugées antidémocratiques durant la campagne électorale, le président élu n’aura face à lui aucun contre-pouvoir – ou presque – pour s’opposer à d’éventuelles dérives autoritaires, relève Anne-Lorraine Bujon, directrice de la rédaction de la revue « Esprit », dans une tribune au « Monde ».