La chute de Bachar Al-Assad a permis au centre d’art Zawaya de sortir d’une semi-clandestinité. Exilé en France, le cinéaste Oussama Mohamed a même pu revenir en Syrie pour y projeter son premier film, interdit par le régime. Mais derrière la joie de cette liberté retrouvée, chacun s’inquiète de savoir si les islamistes au pouvoir vont la faire perdurer.