Analysée par des chercheurs argentins à propos du président Javier Milei et dénoncée par Emmanuel Macron, l’« internationale réactionnaire » existe-t-elle ? Elle semble prendre forme à l’ombre du trumpisme et dépasse le simple groupe des « hommes forts », explique, dans sa chronique, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».